Amélie Nothomb. – Soif. – Paris : Albin Michel, 2019. – 125 pages.
Roman
Résumé :
La romancière se glisse dans la tête de
Jésus-Christ depuis son procès jusqu'à la résurrection, et raconte à la
première personne les réflexions du Christ sur son Père, le corps, l'amour, la
jouissance, l'ingratitude humaine, la souffrance, l'espérance, la foi ou encore
la mort. Le temps de la Passion ravive la mémoire d’événements, d’expériences,
de rencontres présentes dans le Nouveau Testament sous l'œil de Jésus, qui
raconte « son » Judas, ou encore ses meilleurs miracles.
Commentaires :
En vérité je vous le dis, cet opuscule de
Amélie Nothom est le premier roman de cette auteure belge que je lis. L’éditeur
le résume par cette phrase : « Pour éprouver la soif, il faut être
vivant ».
Il fallait le faire : donner la parole
au Christ pour qu’il dévoile son point de vue sur les événements entourant sa
crucifixion (avant – pendant – après) et ses relations avec son Père, sa mère
Marie, son amoureuse Madeleine, Judas, Pierre, Jean et les autres. Inspiré des
Évangiles. Réussi comme entreprise que d’aucuns qualifieront sûrement d’appropriation
masculine.
J’ai apprécié l’audace et l’humour dans l’écriture
de la 28e publication de cette romancière.
Une lecture de circonstances en cette Semaine sainte 2021.
Originalité/Choix du sujet :
*****
Qualité littéraire :
*****
Intérêt/Émotion ressentie :
****
Appréciation générale :
****
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