Dernière enquête du commissaire
Salvo Montalbano dans le village sicilien fictif de Vigata. Une affaire de corruption
sans l’industrie de la construction menée avec l’humour qu’on lui connaît et de main de maître. Amateur de plats cuisinés
simples et typiques de la cuisine sicilienne, il sait encore une fois se fier à
son intuition et démasquer les mafieux. Le tout raconté et traduit dans une
langue française qui s’inspire de la syntaxe sicilienne. « Le commissaire Montabalno je suis »
est un exemple où le verbe est à la fin de la phrase. Ou encore : « Je demande compression et pardonnement, mais
étant distraitable, je me fis une oubliance ». Ce qui donne à la fois
à la narration et aux dialogues une couleur locale à laquelle le lecteur s’habitue
au gré des chapitres.
Bon rythme et bon suspense.
Lecture rafraîchissante campée une atmosphère pluvieuse « comme vache qui
pisse » et un décor boueux, « métaphore de la société corrompue et
déliquescente dans laquelle le commissaire doit se battre ». Je vous le
recommande.
Originalité/Choix
du sujet :
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Qualité littéraire :
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Intrigue
:
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Psychologie
des personnages :
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Intérêt/Émotion
ressentie :
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Appréciation
générale :
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